• Quand l'ASH ira en Angleterre...

    Quand l'ASH ira en Angleterre...

     

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  • Supporters autour de la Terre (Vitrine en cours). A gauche: "Papa" Yan Le Moing (1975),

                             A droite: Brignogan, devant la poste, le 4/8/1979, avant le repas des 20 ans de Swallow (avec Drago Vabec!): Fulgur, Marius, Le Tchèque et Garcia.

    Ci-joint, l'immense Le Vieux Sorcier Yvinec

    (Bourvil Session)

     

    Cet article est une sorte de melting potes, mêlant joueurs et supporters de l'ASH, durant les années lycée (1975-1978) et les années Fac' (1979-1982)






     

     

     

     



    Supporters autour de la Terre (Vitrine en cours).

     Ci-contre, Swallow l'hirondelle du Bergot ("Bergot's burning", c'est lui) et le fantasque et tique Johnny Boots, le meilleur avant au baby-foot que le bar "le mondial" rue de Siam ait jamais connu.

    Le badge a été créé par Olive Bomon ("the rat") à l'occasion du départ de Dragan à Paname (tout un roman)

     

     

     

     

     

    Coalman (Philippe Charbonnier) et Philou Gorginette furent les supporters des années Fac (issus de Sup' de Co où se trouva Swallow)

     

     

    Ci-joint, à gauche, Olive Bomon, qui débarqua à l'Harteloire en 1976 et devint un pilier de l'ASH. A côté, Professeur Jean Douglas Lasbuth Le Got, beau-frère du sponsor Belda.

           

      Supporters autour de la Terre (Vitrine en cours).

     Les années Fac furent le théâtre de nombreux repas d'adieu (départs d'Y ou Y vers Paris ou Nantes), annonciateurs de l'évanouissement de la chère Association dans l'ozone.

     

     

     

     

     

     

    La photo à gauche rappelle l'attachement de bon nombre des diables blancs au Stade Brestois.

    Ci-contre: Dragan (gilet de laine rouge), Angus (Marc ar Moal, supporter des années 79/82 et guitariste émérite) et Fulgur, avant un tournoi inter-bars.

     

     

     

     Ci-joint, Didier Six, l'auteur du but fabuleux à Maracana, qui eut le malheur de croiser l'ASH avant un match contre le Stade Brestois

            

     

     

     

     

     

    Supporters autour de la Terre (Vitrine en cours).Enfin, une photo de famille, comme on aurait pu en prendre plusieurs au cours de ces années qui virent ces ex-lycéens peu à peu devenir grands... et voler vers d'autres horizons!

    En octobre 2009, Hubert "Steve" Rébillard nous a quittés. Nous n'oublierons pas les week-ends d'hiver 76 à 78 dans la fermette de l'arrière-pays de Guissény, à écouter les vieux Status Quo, "Technicolor dreams" et "Down the dustpipe".

    Parmi les supporters, il ne faudrait pas oublier les vrais brestois tel James CLOAREC,  de classe B comme DEBE. James allait au match comme tous, James a épousé la Poste (comme Dragan BROSSEL et Michel CAJAN); il est l'un des seuls que vous pourrez retrouver en Brest-même





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  • Entrez dans la légende de l'ASH!

     

     

     

     

     


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  • MARIUS: " Je viens du sud et par tous les chemins, j'y reviendrai".

     

    MARIUS: " Je viens du sud et par tous les chemins, j'y reviendrai".A une époque où les familles de la Royale faisaient le yoyo entre les rades de Brest et de Toulon, "Marius", enfant du Var et de Marseille aussi, débarqua au lycée bleu dans la première moitié des années 70. On le retrouva très vite lorsqu'une partie de foot se disputait, sur un terrain de hand, ou plus haut sur le terrain vague (la "savane") près des classes en préfabriqué.

    Ce ne fut donc pas une surprise lorsqu'on vit ce conteur d'histoire corses ("hé, Doumé!"), amateur d'America et de Neil Young, très à l'aise en maths, joindre le premier noyau des garnements de l'ASH dès l'éclosion de celle-ci à la rentrée '76. Un brin chambreur, il avait cette aisance technique à damner l'âme d'un Vermeer (dixit Pierre Bachelet, RIP), cette propension un peu paresseuse à "caresser la bolasse", à dribbler sur la ligne de touche pour mieux se gausser de l'adversaire, à adresser de son aile droite des centres liftés comme un vol de boomerang. Pas plus grand que Bernard Lacombe (notez qu'à l'instar des stars de ciné dont on tait l'âge, on ne donne pas la taille des grands joueurs) ,          MARIUS: " Je viens du sud et par tous les chemins, j'y reviendrai".
    il citait Garrincha, Pelé, Galabru, Cruijff (cherchez l'erreur), ou les étoiles marseillaises qu'il vit scintiller au vélodrome (Skoblar, Magnusson, Paulo César).

    Il eut la fantaisie d'arracher le superbac 78 ("le plus ardu qu'il me fut donné de vivre" lâcha Jean Paul Sartre qui avait ouvert une petite alimentation rue Alain Fournier) à la fin de l'été. Son retour triomphal le 21 septembre à 18h15 est immortalisé plus bas (avec la présence de Winnie, Supermac, le vieux sorcier , Béb'Mc Reno et la soeur de Marius).


    MARIUS: " Je viens du sud et par tous les chemins, j'y reviendrai".

    Jusqu'à la fin des années 80, il vécut les belles heures du PL Guérin, jusqu'à la disparition de la section foot du grand club de Saint-Martin. Son style châtoyant le prédisposant aux blessures, il perdit peu à peu ses aspirations offensives pour mettre son expérience dans les combats d'arrière-garde.

    Jean Giono a toujours été sûr qu'un jour il redescendrait définitivement retrouver le chant des cigales, les toits de Manosque, les gorges du Verdon, ou voir les Rolling Stones au stade Mayol à Toulon. Mais si vous voulez qu'il vous conte une histoire marseillaise. c'est encore rive droite à Kerbonne qu'il vous faudra le chercher!

    En hommage à feu Robin Gibbs, Marius vous conseille l'écoute de la pépite cachée des Bee Gees ("Trafalgar", 1971). Pour la petite histoire, Dragan et Fulgur, perclus d'ennui durant l'été 75, créèrent "radio Trafalgar" en utilisant la chanson éponyme du disque comme jingle. En fait, ils jouaient à faire de la radio en s'enregistrant sur un radio'cassette. Ah, ah, les gamins!

    MARIUS: " Je viens du sud et par tous les chemins, j'y reviendrai".Ci-dessus, l'incroyable FC Gentilho qui vint à bout du FC Mélody le 11/05/1980, 5 buts à 4, dont un triplé de Marius! Ce fut le supermatch de gala du siècle.
    MARIUS: " Je viens du sud et par tous les chemins, j'y reviendrai".


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  • Il est arrivé dans le lycée bleu à la rentrée de septembre 1977, un peu perdu après un an de séjour dans le vrai far-west (Phoenix, Arizona), parlant l'américain comme John Wayne.

    Ses interventions lors du cours d'Anglais de Mr Morzadec impressionnaient l'auditoire.( Do you remember Mr Morzadec, une sorte de Laurent Delahousse des seventies? Aves-vous appris avec lui "I am a rock" de Simon & Garfunkel? ("A winter's day-ay..."). Ce n'était pas la victorienne Miss Nardon ou le dickensien Mr Mancec et son vocabulaire vert (comment dit-on "légumes verts", Phillips?)... "Greenvgtabolz!".

    Philippe Poncey se vit tout de suite coiffé du sobriquet de "Jimmy", Jimmy Carter ayant à l'époque quitté son bayou pour la Maison Blanche. Il devint naturellement vice-président de l'ASH (il n'était pas véritablement joueur de foot), la place de président revenant assez naturellement au charismatique et politique Jack Ranchère, série littéraire lui aussi, bientôt affublé des surnoms "Pino" (inévitable dans les années 70) ou Gorge-de-fer (Pdt Jack fera évidemment l'objet d'un article dans ce blog).

    Tennis blanches Jimmy Connors, blue jeans, chemise blanche, blouson et écharpe autour du cou, l'index placé horizontalement devant la bouche lorsqu'il se retenait de rire, démarche élastique, cette façon de faire "sauter" ses clés de voiture dans la main, Jimmy devint vite une figure du lycée. Au début de l'année '78, il obtint l'autorisation d'organiser une boum (si) un mercredi soir dans le foyer sis au premier étage tout au nord du bâtiment, au dessus de la cantine. Au même moment, le film "Zorro" avec Alain Delon passait à la télé: les lycéens durent faire un choix. Sa platine vinyle, posée sur un radiateur en marche (nous étions en hiver), rendit l'âme à Dieu en fin de soirée après avoir craché la reprise de "You really got me" par Van Halen. Y fûtes-vous?

    La même année, comme la plupart des membres de l'ASH, Jimmy mit dans sa poche le Superbac ("the hardest of the century", Ronald Reagan said). Avant de refranchir l'océan Atlantique, il mena à bien de février à mai 1979 (avec Kermit et Fulgur) les démarches administratives qui permirent l'officialisation de l'Association au journal Officiel (voir plus bas).

    On raconte que son fantôme joue parfois au base-ball sur la plage de Sainte-Marguerite à Landéda, ou encore saute en hurlant du haut des dunes de Keremma.

    Jimmy, le vice-président à la bannière étoilée. (vitrine en cours, j'ai perdu des photos!)
























    Jimmy, le vice-président à la bannière étoilée. (vitrine en cours, j'ai perdu des photos!)

    Ci-dessous, la parution au Journal Officiel de l'ASH, le 25 mai 1979, comme un testament. Elle était officialisée au moment où elle cessait de vivre, ou presque.

    Notez l'expression favorite de Jimmy: "It's Titanic!", qui ne paraît l"avoir abandonnée à ce jour.

    La carte du camping à Jersey en mai '79 rappelle un séjour avec Fulgur sur l'île anglo-normande. Pour fêter l'officialisation? Le pub se trouvait à côté de l'église de Saint-Martin, çà c'est sûr. Jimmy retraversa bientôt l'Atlantique (cf. Rod Stewart: "Atlantic Crossing - 1975).

    "For long is the road winding ahead of us."
    (bon voyage à l'ASH)

      


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